Quand je regarde en arrière, je me rends compte que tout ce que j’ai fait jusque maintenant dans le monde du travail est basé sur une conviction qui m’est apparue il y a quelques années.

On s’est trompé sur ce qu’est le travail.

Sociétalement, on a positionné le travail comme une obligation, quelque chose qu’on « doit » faire pour « gagner notre vie » et un statut social.

Après mon bac, je me souviens d’ailleurs de mon seul objectif pour ma vie professionnelle : devenir quelqu’un et gravir l’échelle sociale.

J’étais le produit de la vision du travail et de ce qu’est une vie bien vécue que nous avons collectivement construite ces dernières décennies.

Le résultat de cette vision sociétale du travail ? Nous y dédions la majorité de nos vies, pour la plupart du temps ne pas être pleinement épanoui et attendre de (vraiment) vivre 2 jours par semaine et 5 semaines par an.

Mais il existe une autre manière de voir le travail.

Quand on s’intéresse à l’histoire linguistique du mot « travail », on découvre qu’il existe deux étymologies possibles.

• « Tripalium », un instrument de torture de l’antiquité
• ou le préfixe « tra- » issu du mot latin qui signifie « Transformation »

Pour moi, le travail peut être un outil de transformation.

Pour se transformer soi et sa propre vie.

Pour transformer les vies de notre entourage.

Pour transformer le monde qui nous entoure.

Nous pouvons faire le choix de mettre nos efforts, notre temps, nos compétences et notre savoir au service des transformations que l’on veut vivre et créer pendant les quelques années que l’on nous a données à vivre.

Il existe d’ailleurs une communauté incroyable de personnes qui portent cette nouvelle vision du travail dans leur quotidien.

On les appelle les freelances, les entrepreneurs indépendants, les solopreneurs et d’autres étiquettes variées, mais au delà de ça ils ont tous une aspiration commune.

Ne pas vivre pour travailler, ni travailler pour vivre.

Mais construire une activité professionnelle où la vie et le travail s’embrassent parfaitement, et où ce que l’on fait de nos journées contribue à transformer notre propre vie et celles de nos clients.

J’ai décidé de me dédier à ces personnes, pour aider les indépendants à construire une activité qui prospère, nourrit leurs idéaux, et change la vie de leurs clients sur le chemin.

Mes engagements

J’ai écrit au-dessus que je vois mon travail comme un vecteur de transformations. Une des transformations qui me semble les plus importantes de notre ère, est celle de l’écologie et la protection de la planète. Je souhaite que mon activité soit au service de cette cause, et pour cela je fais plusieurs choses :

• 1% de toutes mes ventes est reversé dans un fond qui investit dans la réduction du carbone.

• Chaque année je reverse 1% de mon chiffre d’affaires dans des associations qui œuvrent pour les causes écologiques et sociales. Pour l’instant nous avons investi :
  • 500€ dans le projet Time for The Planet
  • 150€ à la WWF pour la protection de la bio-diversité.
  • 150€ à GiveWell qui sélectionne selon un procédé méticuleux les associations au plus fort impact en termes de vies sauvées. Au moment du don, c’était pour financer du matériel médical contre la Malaria en Afrique.

Nous vous encourageons fortement à vous aussi redonner une partie de votre chiffre d’affaires à des organisations qui protègent la planète et les humains. Rejoignez le mouvement.